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mgr aupetit evêque - Page 2

  • RENCONTRE AVEC BERTRAND AUVILLE, NOUVEAU CURE DE VANVES : « C’est mon 2éme poste de curé, ma 3éme paroisse »

    « Me voici curé de Vanves ! » écrivait le pére Bertrand Auville dans le numéro de « Sel et Lumière » de Rentrée voilà presque un mois. Il succède au pére Vincent Hautecoeur et sera installé officiellement Dimanche par Mgr Aupetit, Evêque du diocèse des Hauts de Seine, lors de la messe à Saint Remy à 10H30. Ce soir, il donnera à Saint François une conférence sur « cette église que j’aime » à 18H, célébrera à 19H les Vêpres solennelles de la fête de Saint François qi se clôturera par un buffet partagé. A cette occasion, le blog Vanves Au Quotidien a rencontré le père curé Bertrand Auville

    Vanves au Quotidien - A la différence de votre prédécesseur pour qui c’était son premier poste n’arrivez-vous pas déjà avec  une expérience dans cette fonction de curé ?

    Bertrand Auville : « Je suis prêtre depuis 15 ans. La première année était consacrée aux études, l’Evêque m’ayant demandé de terminer une formation pour avoir une maîtrise de théologie. J’ai été ensuite vicaire à Montrouge et aumônier de lycée en parallèle pendant 6 ans, puis curé à Garches pendant 8 ans avec deux autres responsabilités diocésaines  : La pastorale des jeunes adultes  (18-30 ans) avec groupes de prières, camps, pélerinages, rassemblements…et le service des vocations qui a une double fonction : accueillir les demandes de candidats au séminaire et discerner à travers des méthodes et des groupes d’accompagnements s’ils entrent ou pas ; et faire la promotion des vocations, ce qui suppose conférences prédications, dans des écoles, des paroisses…  C’est mon 2éme poste de curé, ma 3éme paroisse

    VAQ - En quoi vos expériences précédentes vous aideront dans cette nouvelle charge ?

    B.A : « Prêtre est un état et curé est un métier. Quand on est prêtre c’est un état de vie, mais il y a plusieurs « métiers » qu’on exerce : aumônier de lycée n’est pas la même chose qu’aumônier d’hôpital, prêtre au fin fonds d’une contrée pas chrétienne n’est pas la même chose qu’être curé à Versailles dans la paroisse du centre ville. Curé est donc un métier que j’ai déjà exercé et que je continue à exercer. En même temps, chaque paroisse a son histoire due à la sociologie des habitants, aux prêtres qui les ont marqués d’une manière ou d’une autre, aux engagements différents qui ont pu être pris au travers des décennies précédentes. On constate par expérience et parce qu’on s’y est préparé, que les paroisses ne sont pas interchangeables. La paroisse de Vanves a son histoire, Garches avait la sienne, le père Auville a son histoire, le père Hauttecoeur avait la sienne. 

    VAQ - Quelles sont les différences justement entre  Vanves et Garches ?

    B.A. : « Sociologiques car Garches fait partie des villes les plus bourgeoises des Hauts de Seine, dans cette espèce de couronne d’or constituée par  Marnes La Coquette, Vaucresson, Ville d’Avray. A Garches, ce sont des capitaines d’industries, des patrons de salles de traidings,  une bourgeoisie d’affaires plutôt qu’à l’ancienne comme à Versailles qui n’est pas très loin. Vanves est une ville plus mêlée, quoique le prix de l’immobilier faisant la loi, il y a une tendance à l’embourgeoisement comme beaucoup de villes de notre département. Mais à Vanves, nous jouxtons Paris, et il y a un bien plus grand turn-over de population que dans des villes comme Garches, où ses habitants s’installent pour dix ans. A Vanves, un jeune couple, ce qui est souvent le cas, y demeure 2 à 3 ans car il vient du 15éme et franchisse le Périph avec un enfant, pour aller ensuite plus loin lorsqu’ils en a d’autres. Pour la construction d’une vie paroissiale, c’est un élément à prendre en compte. On ne fait pas le même travail avec des gens qui sont là pour 2 ans que pour 10 ans.

    VAQ – Avez-vous ressenti déjà l’aspect convivial propre à la paroisse de Vanves ?

    B.A. : « Je trouve, peut être par rapport à d’autres paroisses, qu’à peu prés, toutes les personnes qui pratiquent, ont une activité quelle qu’elle soit dans un groupe, un service, un mouvement…  Ce qui est peut être plus marquant que dans une autre paroisse où il y a davantage de « consommateurs » d’activités paroissiales. Mais toute médaille va un revers : des activités tout azimuth se développent, quite à être très proches ou similaires. Peut être faudrait il que les adhérents à ses différents services et groupes se connaissent, arrivent à faire connaître ce qu’ils font avant d’imaginer créer quelque chose de nouveau

    VAQ- A peine arrivé, certains paroissiens s’inquiètent de ne pas avoir un curé à plein temps  ?

    B.A. : «Curé on l’est à plein temps. Je ne suis pas moins curé quand je suis en vacances que lorsque je suis ici. Le curé est comme le père de famille ! Il est celui qui prend soin de ceux qui lui sont confiés. Que des enfants soient à ses côtés, ou éloignés en colonie de vacances, il n’en reste pas moins père de famille. Comme le curé qui est en charge d’âme, de ceux qui lui sont confiés, c'est-à-dire ses ouailles. Il se trouve que l’évêque m’a confié deux autres missions qui font que je ne serais pas à plein temps à Vanves pour les activités strictement paroissiales. 

    VAQ - Quelles sont ses missions que vous a confiées Mgr Aupetit ?

    B.A. : « C’est le service des vocations pour une année, et un service nouveau que nous essayons de créer en ce moment de relations entre l’église et le monde politique  Nous avons 3 axes principaux : Tout d’abord s’occuper des élus chrétiens depuis les conseillers municipaux jusqu’aux députés … pratiquant, engagés en politique et dans l’église. L’idée est d’assurer une aumônerie, un coaching pour employer un mot plus moderne, de ses élus chrétiens, à leur demande, d’avoir des groupes de réflexions, relire leur pratique, suivre quelques formations concrètes. Ensuite, prendre acte que l’église sur un certain nombre de sujets sociétaux, travaille, réfléchit et produit des réflexions souvent pertinentes.  Enfin, faire se connaître et se rencontrer les acteurs de la vie chrétienne et les acteurs de la vie politique, ce qui passera par l’organisation peut être une fois par mois, d’un petit déjeuner avec 2 ou 3 élus, 2 ou 3 prêtres ou responsables d’églises, pas toujours les mêmes, un conférencier… pour apprendre à réfléchir ensemble,  à se connaître et à se dédiaboliser.

    VAQ – Le Pape François a beaucoup  incité  à aller dans les périphéries !  Qu’est-ce que signifie les périphéries pour Vanves ?

    B.A. : « Il me semble que ce qui doit présider à mon action, est de considérer la paroisse comme un centre avec des cercles concentriques qui gravitent autour. Le centre est le Christ qui réunit ses disciplines pour les nourrir de son eucharistie et de sa parole. C’est le noyau dur des chrétiens pratiquants et engagés ou militants. Ce noyau dur, comme c’était le cas des apôtres, est fait pour être envoyé vers les périphéries. C’est le rayonnement missionnaire que la paroisse doit avoir. Elle ne peut s’en extraire, se contentant de « faire vivre le cheptel ». Il faut se demander quelles sont nos capacités, nos moyens et les périphéries qui existent et qui ne sont pas forcément les mêmes partout. Il y a ainsi un second cercle avec les gens qui sont présents occasionnellement à Pâques, la Toussaint, Noël, pour un deuil, un mariage, un baptême, une première communion… et auquel il faut apporter un intérêt absolu.  Il y a enfin un ou plusieurs cercles de gens qui ne sont pas là du tout, soit parce qu’ils ne sont pas chrétiens, soit parce qu’ils ont une autre confession… Et là, il faut trouver les moyens de les rejoindre parce que notre foi ne peut pas, ne pas nous pousser vers eux. Ce qui passe par des actions caritatives, mais aussi par une contribution à la réflexion sur l’écologie notamment, par une connaissance mutuelle, un regard différent  porté les uns sur les autres… 

    VAQ – Dans une paroisse comme Vanves, que peut on faire pour venir en aide aux Réfugiés en cette période ?

    B.A. : « Ce sujet est d’une complexité absolue !  j’ai souhaité tout d’abord qu’on ne se désintéresse pas du sujet évidemment. Ensuite que l’on travaille en partenariat avec la mairie – le maire a créé une cellule qui permettra le jour où il y aura quelque chose d’être prêt – et la paroisse apportera son concours comme elle le pourra à ce qui se fera. Ensuite l’évêque a créé une structure récemment pour essayer de voir ce que nous, chrétiens, nous pouvons faire. Il a dégagé une ligne de crédits et nommé un chargé de mission qui aura pour but de voir ce qui existe comme réalité dans certaines paroisses, de faire un partage des bonnes pratiques, et insuffler quelques initiatives. Je ne veux pas que l’on se lance, la fleur au fusil, et n’écoutant que son bon cœur, à faire tout et n’importe quoi. Je crains que ce ne soit pas efficace. On n’a pas les reins assez solide pour le faire, et qu’au final qu’il n’y ait qu’un coup d’épée dans l’eau éphémère. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas fait beaucoup de communication là dessus, mais on travaille, on se concerte avec la ville, le diocèse. J’ai reçu des propositions de paroissiens, mais il ne s’agit pas que de donner un logement, car il y a des questions d’accompagnement au niveau administratif, social, sanitaire… à organiser.

  • UN EVEQUE ET DES RELIQUES A VANVES : LES CATHOS VANVENNES CELEBRENT LA SAINT REMY ET L’ANNEE DE LA VIE CONSACREE

    La Communauté catholique vanvéenne va vivre un événement particulier en accueillant pendant les quatre premiers  jours de la semaine prochaine,  les reliques de Sainte Thérése avec celles des époux Martin (parents de Sainte Thérése), du 19 au 22 Janvier 2015, à Saint François, à Saint Remy puis chez les Bénédictines. Rappelons que Vanves avait accueilli les 19 Et 20 Mars 2010 les reliques du curé d’ars devant lesquels 53 jeunes de 5éme de Vanves e de Malajoff avaient fait leur profession de la foi del’Eglise.   Mais auparavant, ils accueilleront dimanche, Mgr Aupetit, l’Evêque de leur diocése des Hauts de Seine qui célébrera la messe solennelle de la Saint Remy à 10H30, les rencontrera autour d’un verre vers 11H45. 

    UN EVEQUE EX-DOCTOR

    C’est pratiquement un altoséquanais qu’accueilleront les vanvéens Dimanche. Nommé par le pape François, Evêque du diocése de Nanterre (Hauts de Seine) le 4 avril dernier, Mgr Aupetit, Evêque auxiliaire de Paris,  prenait ses fonctions le 4 Mai et succédait ainsi à 3 Evêques :  Mgr Delarue,  Favreau et Daucourt qui venaient tous de province.   Agé de 63 ans, il a connu les Hauts de Seine, pas comme prêtre, mais comme médecin généraliste à Colombes (1979-90), avant d’entrer au séminaire en 1990, d’être ordonné prêtre en 1995 et de remplir tous ces ministéres à Paris qui lui ont permis d’acquérir « une riche expérience humaine, professionnelle et pastorale ». Ce 4éme évêque du Diocése de Nanterre, est un homme d’église aux fortes convictions. Il  a participé à la manif pour tous et a exprimé, sans détours, son opposition à l’ouverture du mariage et de l’adoption aux couples homosexuels : « Une loi a pour vocation de s’appliquer à tous et donc d’être universelle. Il ne convient pas, qu’au nom d’un individualisme exacerbé, on crée une loi pour chaque catégorie de personnes. Sinon, pourquoi pas la polygamie? L’inceste? L’adoption d’un enfant par un frère et une sœur ? ». Il ajoutait que «l’homoparentalité est une inexactitude», puisqu’il y a toujours un père et une mère».

    Récemment, il rappelait  que « la procréation médicalement assistée qui, originellement était destinée à remédier à l’infertilité d’un couple et qui, même dans ce cas, n’allait pas sans poser de problèmes, devenait une grave injustice quand elle servait à faire de l’enfant un obscur objet de désir pour combler toutes les frustrations et tous les manques ». Quant à la GPA, « c’est-à-dire la question des mères porteuses, outre qu’elle instrumentalise le corps de la femme, elle introduit un trouble majeur dans la filiation lorsque le pauvre enfant, en grandissant, ne saura plus qui est vraiment sa mère, entre celle qui lui a donné son visage (la donneuse d’ovules), celle qui l’a porté et mis au monde ou celle qui va l’éduquer. On remplace l’acte d’amour par une éprouvette et le papa et la maman par des éducateurs que l’on croit plus spécialisés. Le père a fait place à l’expert. La procréation a fait place à la production déniant à l’enfant ses droits légitimes d’être élevé par son père et sa mère ». Il quittera Vanves aptrés déjeuner, pour  animer  d’ailleurs l’après midi à Boulogne, une conférence débat sur les enjeux et les perspectives de la démarche du synode des familles 

    LES RELIQUES VOYAGEUSES

    Dés le lendemain, Vanves accueille, dans le  cadre de « l’année de la vie consacrée », les reliques de Sainte thérese de l’enfant Jésus, devant lesquelles les vanvéens pourront, pendant 4 jours, venir prier, contempler, réciter prières et chapelets. « Les chrétiens sont toujours allés prier sur les lieux des martyrs, ces hommes et ces femmes qui ont donné leur vie jusqu’au bout pour Jésus Christ. Et l’Eglise a toujours eu en vénération et gardé précieusement les reliques des saints, c’est  à dire les restes d’hommes et de femmes, chrétiens, baptisé qui ont suivi et aimé le Christ jusqu’au bout » expliquent des spécialistes  « Et si nous venons vénérer les reliques de Ste Thérése ou de Louis et Zélie Martin, c’est tout simplement pour rende grâce pour ce que l’Esprit saint a fait de beau dans leur vie et qui a illuminé toute l’église. C’est l’occasion à côté d’un saint, de prier tout particulièrement en cette année dela vie consacrée pour tous ceux qui offrent leur vie au Seigneur » ajoutent les organisateurs vanvéens de ce qu’ils appellent « La neuvaine à Sainte Thérése » à l’occasion de la venue des reliques de sainte Thérése de Lisieux qui parcourent le monde depuis 1997 sans discontinuer.

    Les demandes ne cessent de parvenir des quatre coins du monde et pas seulement de l’étranger à la direction des Pèlerinage de Lisieux depuis que le recteur de l’époque avait proposé, à l’occasion du centenaire de sa mort, le 30 Septembre 1997, que le reliquaire contenant les ossements de la sainte soit exposé, dans trois grandes villes qu’elle avait visitées lors de son pèlerinage à Rome : Lyon, Paris, Marseille, où l’événement remporta un succès totalement inattendu. 1200 personnes pour une simple veillée à Fourvière ; 50 000 en quelques jours à Marseille ; des milliers dans les grandes paroisses de Paris. Ensuite, ce fut l’effet  « boule de neige ». La demande d’un Père Abbé Bénédictin pour son propre monastère (Notre-Dame de Fontgombault) déclencha une visite dans près de 150 monastères de 42 diocèses de France. Des passionnés de Thérèse en Belgique, Allemagne et Italie, firent sortir les reliques de l’hexagone. Plus de 50 pays sur les cinq continents ont été visités depuis.

    DES RELIQUES MAGIQUES

    Des paroisses et des communautés en France désirent ainsi vivre des temps forts, stimulés par la présence de celle que Pie XI proclama « patronne universelle des missions » le 14 décembre 1927, à l’égal de saint François-Xavier. Les « rêves » les plus fous de la jeune carmélite semblent se réaliser : « Ah ! malgré ma petitesse, je voudrais éclairer les âmes comme les Prophètes, les Docteurs, j’ai la vocation d’être Apôtre... je voudrais parcourir la terre, prêcher ton nom et planter sur le sol infidèle ta Croix glorieuse, mais, ô mon Bien-Aimé, une seule mission ne me suffirait pas, je voudrais en même temps annoncer l’Évangile dans les cinq parties du monde et jusque dans les îles les plus reculées… Je ne compte pas rester inactive au ciel, c’est mon désir de travailler encore pour l’Église et pour les âmes ». Désir semble-t-il, pleinement réalisé, depuis 1997

    Bien au-delà de la présence des reliques, les gens font la véritable rencontre d’une sœur, d’une amie, à qui ils peuvent tout confier, d’une remarquable médiatrice qui leur révèle le Visage du Christ : « Thérèse est maîtresse de vie spirituelle par une doctrine, à la fois simple et profonde, qu’elle a puisée aux sources de l’Évangile sous la conduite du Maître divin et qu’elle a ensuite communiquée à ses frères et sœurs de l’Église d’une manière très convaincante » écrivait Jean Paul II. « La présence de Thérèse a permis ce qui ne se réalise que fort rarement : la participation vibrante à un même événement spirituel de personnes et de milieux très différents, avec souvent la présence de personnes qu’on ne voit pas habituellement dans les églises. Certaines ne l’ont plus fréquentée depuis des années, d’autres n’ont pas la moindre idée de ce qu’était la foi. Le sacrement de la réconciliation est revalorisé, l’Eucharistie célébrée, le Saint-Sacrement adoré » notait un témoin de ces voyages à travers l’hexagone.

     

    LE PROGRAMME A VANVES

    Lundi 19 Janvier à Saint François

    A 19H30 : Messe pour les Familles

    A 20H30 : Conférence du pére Ollivier Ruffray sur les époux Martin

    Mardi 20 Janvier à Saint Remy

    A 18H30 à Saint François : Temps de prière avec les enfants

    A 19H30 de Saint François à Saint remy : Procession des Reliques

    A 20H15 : Messe

    A 21H : veillée de prière et de louange

    Mercredi 21 Janvier au monastère Saint Bathilde

    A 15H de Saint Remy au monastère Saint Bathilde : départ des reliques chez les Bénédictines

    A 16H  : Temps de prière avec les sœurs

    A 18H30 : Vêpres suivi de la messe (19H15) et d’un temps de priére (20H)

    A 20H30 : Consférence sur la spiritualité carmélitaine par le pére Sylvain Lamerand chapelain au sanctuaire (sur la vie et l’œuvre de Saint thérése et la spiritualité du Carmel).

    Jeudi 22 Janvier au Monastère Saint Bathilde

    A partir de 7H15 : Parage de la vie monastique avec Sainte Thérése qui, enfant, a été à l’école des Bénédictines , et découvrir la vie monastique à la lumière de la régle de Saint Benoit

    A 16H : Rencontre autour de la vie consacrées avec un temps de témoigne et d’échange. Chaque personne ou communauté du diocése est invitée

    A 17H30 : Vêpres

    A 20H : Eucharistie suivie d’un temps de louange et de méditation